
Ils s'écartent trois parcs en Espagne

l'Espagne écarte trois parcs pour éviter conflits diplomatiques
L'environnement a succombé devant la diplomatie. Du premier réseau de protection d'oiseaux marins ils se sont tombé trois parcs prévus en des eaux limítrofes avec le Maroc et le Gibraltar. Le Gouvernement espagnol n'a pas voulu des conflits et il a opté par rebajar sa proposition initiale. Quand même, ils restent 41 espaces proposés qu'ils supposent «un saut il avance» dans la conservation, selon les écologistes.
Le Ministère d'Environnement a publié hier le brouillon de mandat ministériel que déclare le premier réseau marine d'espaces protégés. Il s'agit d'un complet listage avec 41 espaces que seront classés comme Zone de Spéciale Protection pour les Oiseaux. Dans le listage final ils se sont tombé trois des zones prévues: le Détroit de Gibraltar, les Chafarinas et le Banc du Conception. Environnement admet qu'il les a retirés pour ouvrir «une période de réflexion avec des Extérieurs», puisque sont en des eaux que réclament le Maroc et le Gibraltar.
Le mandat ministériel protégera presque 50.000 kilomètres cadrés. Dans chaque zone établit des limitations d'usage et contrôles, comme qu'il n'ait pas versé d'hydrocarbures ou éviter tu les captures accidentels d'oiseaux dans les réseaux des pêcheurs. Pour identifier les zones de valeur, la Société Espagnole d'Ornitología (SIÈGE-Birdlife) a réalisé avec financement européen recensements en plus de 37.000 kilomètres et il a marqué avec GPS plus de 200 oiseaux marins. Il s'agissait d'identifier les espaces d'importance pour les oiseaux marins protégées 20 ans après réaliser ce procès en terroir.
Dans le listage initial de SIÈGE ils apparaissaient les îles Chafarinas, à l'est de Melilla et à seul 2,5 milles de la côte marocaine, où y a des colonies de pardela cenicienta et gaviota d'Audouin, espèces menacées. il aussi se comprenait part du Détroit de Gibraltar, principale route migratrice du continent, et le Banc du Conception, au nord-est des Canaries. ils là affleurent eaux profondes, quelque chose qui lui confère une grande richesse bio.
Le président-directeur général de Politique Forestière, José Jiménez, a expliqué hier que ces trois zones se sont retirées par être en des eaux en dispute internationale: «Où il y a une dispute nous allons faire une réflexion plus pausada avec le Ministère d'Affaires étrangères». Jiménez définit ces zones comme «ces sites avec certaine conflictualité dans lesquels ne sont pas clair les limites».
l'Espagne a déjà déclaré un Lieu d'Intérêt Communautaire en la Bahia d'Algeciras. le Gibraltar et Londres ils ont fait appel au Tribunal de l'UE à l'envisager que vulneraba sa souveraineté, mais kla justice a rejeté cette demande. l'Espagne ne reconnaît pas souveraineté du Gibraltar sur les eaux. «Les Lieux d'Intérêt se dessinent pour protéger déterminées espèces et il y a que le justifier», il explique Jiménez, qu'il défend la retraite des trois zones problématiques parce que «ne sont pas seulement questions scientifiques».
Jusqu'à il maintenant y avait des espaces naturels en terroir que, en des occasions, ils avaient certaine continuité vers le mar. ils Aussi existaient des réserves pesqueras et le parc sous-marin du Cachucho, face à la Cantabrie. Mais le réseau de ZEPA Marina est le premier dessinée comme telle, avec des grandes zones protégées même loin du littoral.
En 2006 le Conseil d'État il a réalisé un rapport à la demande du Gouvernement sur l'implication de déclarer zones protégées en grand mar. Le rapport rappelle que les Chafarinas ont déjà été déclaré «refuge national de chasse» en 1982. Et il recommandait que si il se cherchait sa protection il se fît dans une zone beaucoup majeure et de forme conjointe avec le Maroc.
Les écologistes de SIÈGE-Birdlife regrettent la retraite de ces trois zones protégées, mais encore ainsi envisagent que le brouillon du mandat ministériel est «un grand pas vers la conservation de nos mers». Pep Arcs, responsable du Programme Marin du SIÈGE, explique que au déclarer une zone marine protégée «ils se maintiendraient les usages existants», comme la pêche, mais il y aurait qu'éviter les dommages aux oiseaux. il oui admet que l'approbation de plans d'exploration en recherche de gaz ou hydrocarbures ils seraient plus compliqués une fois protégée.
Le ministère a donné de terme pour recevoir allégations jusqu'au 8 novembre et, selon Jiménez, son intention est approuver le listage avant qu'il finisse la législature et il souligne que l'Espagne est le pays européen plus devancé dans les démarches. Comme s'agit d'un mandat ministériel ne faut pas qu'il passe par le Conseil de Ministres. Le SIÈGE admet qu'il est difficile que s'approuve ce mandat, mais souvenir qui est un engagement des deux dernières ministres d'Environnement.