Le Chemin Français ou la route des étoiles, est le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle par excellence.

En partant de Roncesvalles, est un voyage de presque 800 kilomètres vers l'ouest, avec la Voie lactée qui accompagne depuis le ciel et l'essence d'une route millénaire depuis le terroir.
il ne se peut pas décrire, il est le pèlerin celui qui, pas à pas, doit le découvrir recreándose en les paysages et des coins tellement divers que s'offrent tout au long de tout le chemin; extasiándose en la contemplación des millénaires et énigmatiques pierres que jalonan les routes et que conforment ce sinnúmero de chaussées, ponts, ermitas, églises, cathédrales, monastères…, et que ne sont pas une autre chose que l'empreinte qu'ils ont laissé nos ancêtres, dont le but il était obtenir l'éternité, là-bas dans la «fin du terroir».
Beaucoup d'ils sont les motifs pour lesquels peregrinar jusqu'à Santiago: religieux, sportifs, culturels, gastronomiques, etc. Soyez comme il soit ton motif il est une expérience unique qu'il mérite la peine habiter.
Beaucoup d'ils sont les choses que je m'enseigne le chemin, mais de toutes elles je me reste avec une: Le but n'est pas arriver, le chemin en soi est il la récompense.
Bon chemin, pèlerin!
Août 2007 | ||||||
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l'Espagne | 32 | 797 Km. | 3000 m. | 3000 m. | Grande | ![]() |
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1. Frontière française - Roncesvalles



Ils sont beaucoup des pèlerins qui commencent le chemin en Roncesvalles, mais le vrai est qu'ils ainsi se perdent une étape précieuse, bien que aussi dure.
Depuis S. Jean Pied de Port jusqu'à Roncesvalles sont presque 23 kilomètres, et moins les quatre derniers que descendent à Roncesvalles, le reste sont dans une soutenue hausse. Il se commence avec une douce pendante, mais le Collado de Bentartea et le de Lepoeder obligeront au pèlerin à se employer à fond. Comme il plus avance il arrivera en Ou Cebreiro, tous ces efforts se voient récompensés par le paysage et la beauté de la nature. Sans doute, une recomendable forme de commencer le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Une autre option, est depuis Roncesvalles monter jusqu'à la frontière avec la France et depuis là rentrer par le même chemin jusqu'à Roncesvalles. Dans ce cas ils sont peu de plus de 15 kilometros.
2. Roncesvalles - Biskarreta



Il est une route par bois d'aies, abedules, chênes et pins tellement caractéristiques dans le nord navarrais.
Il se passe par les grands de Mezkiriz et Erro (lieu jadis de bandits et maintenant de brouillards et tejos) et se vont en laissant derrière précieux villages comme Burguete-Auritz, ancien burgo de Roncesvalles, plein de casonas et où Ernest Hemingway se logeait lorsqu'il se récupérait des ressacs sanfermineras pescando dans la rivière Irati.
Cette étape et les suivantes jusqu'à Pampelune, ils sont des étapes compliquées parce qu'estan repletas de montées et descendues. En plus, comme difficulté ajoutée est l'alternance entre asfalto, chemins, sentiers embarrados et pierres de toutes les tailles. Ceci suppose que le pèlerin doit être constamment au tellement de l'appartement et s'adapter à ses caractéristiques. En compensation, cette étape par le nord de la Navarre offre quelques fantastiques paysages entre bois, prés et villages précieux.
3. BisKarreta - Akerreta



Cette étape est il homologue à l'antérieure, alternance entre asfalto, chemins, sentiers, pistes forestières, etc.
Nous passerons par le Grand d'Erro un petit port de montagne qui fait il monter de difficulté cette étape mais qu'en contrepartie nous montre les bois navarrais est son état son plus pur
4. Akerreta - Pampelune



Il est l'étape qu'il nous porte à la première ville du Chemin.
La rivière Arga sera le fidèle accompagnateur jusqu'à Pampelune après passer par Zuriain avec son église de San Millán; Irotz avec un lieu installé pour reposer le pèlerin; Zabaldika et son temple románico de San Esteban; et Arleta avec deux importants bâtiments: le Palais du Señorío et l'église de Sainte Marine.
Après passer la magnifique Trinité d'Arre s'arrive à Villava et Burlada ceinture industrielle de Pampelune pour entrer par la Navarrería (primitivo burgo de la ville) en la vieille Pampelune.
Les autres deux burgos, le de San Nicolás et le de San Cernin étaient peuplés par des francs: artisans et marchands étrangers. Les disputes entre les trois burgos dans le Grand Âge Moyenne, chacun avec ses murailles, ont converti l'actuel Casque Ancien dans un champ de bataille. il après viendrait l'union des trois burgos, le développement de la ville grâce au pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, le saint morenico (San Fermín), les encierros et l'estallido de la fête.
Celle-ci est une étape courte pour amuser, dans celle qui ils se trouvent continus il monte-basses, en alternant sentiers avec quelque chose d'asfalto à moitié du parcours et depuis Trinité d'Arre jusqu'à la capitale la Navarre.
5. Pampelune - Pont la Reine



L'étape traverse déjà dans le banlieue de Pampelune les terrains de l'Université de la Navarre pour s'enfoncer en Cizur Moindre, et affronter l'ascension au Grand du Pardon.
Il raconte la légende que dans la Source Maugrée un pèlerin, harassé et sediento, a été tenté par le diable, que s'a offert à lui porter jusqu'à une source si celui-ci maugréait de sa foi. Le pèlerin a résisté la tentation et en compensation se lui est apparu l'Apôtre Santiago habillé de pèlerin que lui a montré une source et il lui a donné de boire en sa vieira.
En le Grand du Pardon y a un monument au pèlerin et un impactante Parc Éolien. En descendant il se trouve Uterga avec son église parroquial gothique; Muruzábal et son ermita templaria d'Eunate; Obanos, la Villa "des Infanzones" et du "Mystère d'Obanos".
Il raconte la légende que au tour de Santiago comme pèlerine, Sainte Felicia décide se rester comme eremita en Amocain. Son frère Guillermo, duc d'Aquitaine, enojado devant la négative de revenir à la cour lui donne mort. Arrepentido, Revient à peregrinar à Santiago et au tour se reste pour toujours en Obanos, en pleurant son péché jusqu'à la mort. Un sillage au bord de l'ermita d'Arnotegui rappelle ce fait.
À l'entrée de Pont La Reine est la confluencia avec la voie jacobea que vient de Somport. À la fin de la Rue Majeure est le pont qu'il a commandé bâtir une reine et dans lequel il fait des peu d'ans il est apparu un arc qu'il était enterré et qu'il le convertit en symétrique, avec sept yeux.
L'étape vient marquée par la présence du grand du Pardon entre Pampelune et Pont la Reine. En ce qui concerne la difficulté, s'envisage un tronçon moyen, bien que Le Pardon peut supposer un obstacle majeur en dépenant de la climatología. Il y a qu'avoir en compte que n'a pas ombre, et avec soleil se peut durcir autant la montée comme la descendue. Depuis ce grand se peut amuser de quelques vues inigualables de la capitale navarraise et sa cuenca.
6. Pont la Reine - Estella



Après passer le pont médiéval sur l'Arga s'entre dans le quartier des Religieuses avec longue tradition hospitalière en Pont la Reine.
La route jacobea à suite passe par le fond de la vallée en profitant de chemins de terroir.
Avant d'arriver à Mañeru temple gothique de Saint Pierre se signalent les ruines de l'hôpital de Bargota.
Cirauqui, Nid de víboras en basque, s'émerge sur une colline rocheuse avec des nombreux vestiges médiévaux.
Avant de descendre à la vallée d'Yerri se peuvent voir les ruines aussi médiévales de Ville.
à Lorca il se peut visiter l'église románica de San Salvador et à Villatuerta s'accède par un pont románico de deux yeux sur la rivière Iranzu.
Il fait mil ans le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle il ne passait pas par Estella, (la capitale de l'Ega n'existait pas, bien que il oui y avait une population de vascones dans l'ancienne bourgade de Lizarra), s'allait directement depuis Villatuerta au Monastère d'Irache.
Dans cette étape y a qu'avoir un soin spécial avec les différents détournements qu'il se trouve le pèlerin par la faute des oeuvres de la route à quatre voies Logroño-Pampelune, et que font que la distance parcourue soit majeure. il environ se pourrait agir de cinq kilomètres plus de prévus.
En ce qui concerne le profil de l'étape, se maintient la tónica de monte-baisses des antérieures, seulement mérite souligner la côte qu'il se trouve avant d'arriver à Mañeru, que commence à trois kilomètres de Pont la Reine et qu'il a quelque chose plus de un kilomètre de longueur.
En tout cas, n'importe quelle difficulté avec laquelle se puisse trouver le caminante mérite la peine lorsqu'il se contemple l'Église parroquial du Saint Sepulcro à Estella et se passe par la chaussée de Cirauqui, une voie romana que maintient intact le charme de son empedrado.
7. Estella - Les Arcs



Il est la première étape où les grandes distances entre les villages lui saisissent de solitude au pèlerin.
Rien plus abandonner les maisons d'Ayegui, villa fondue avec Estella, le pèlerin se trouve avec une source installée par Bodegas Irache que mana est venu en horaire de bureaux. Après la gorgée de rigueur le voyageur se trouve avec l'impressionante mole du Monastère de Sainte María la Réelle d'Irache.
Situé dans le versant nord de la jupe de Montejurra, lieu sacré du carlismo, déjà recevait pèlerins lorsqu'Estella il n'existait pas. Le monastère d'Irache, que figure entre autres bâtiments, d'une église románica et un claustro plateresco, a eu grande importance dans l'histoire navarraise, bien que peut-être son époque de majeure esplendor soit la de la deuxième moitié du siècle XI, sous le mandat de l'abbé San Veremundo, qu'a accru ses possessions et son prestige. Dans le siècle XVII s'a créé dans le monastère une université, la première de la Navarre. En Azqueta souligne son église parroquial de Saint Pierre.
À l'entrée de l'historique localité de Villamayor de Monjardín, par où racontent que Carloman guerreó, se peut admirer la Source des Maures, gothique du siècle XIII. Il s'agit d'un robusto aljibe couvert avec tour de canon. En le grand de la montagne le château de San Esteban du siècle X se redresse en dominant la région.
En Urbiola a existé un hôpital chargé du Mandat de San Juan de Jérusalem. Trois longues heures après sans de l'eau il s'arrive aux Arcs.
L'étape d'Estella aux Arcs se peut envisager simple, le caminante se trouvera avec les premiers six kilomètres d'asfalto qu'hachent vers en dessus et le reste de bon chemin. Mais cette étape oblige au pèlerin à prendre une décision. À la sortie d'Ayegui (à deux kilomètres d'Estella) un panneau pose deux options. La première, aller droit jusqu'à Azqueta et la deuxième, que marque à la gauche et qu'il propose passer par Irache.
Il est obligé prendre cette deuxième par trois raisons: maintenir le tracé original du chemin, la beauté du Monastère d'Irache, et une troisième raison ne moins importante: la Source du Vin qu'est à 700 mètres de la disyuntiva. Le prix qui s'y a de payer pour amuser de tout ceci est uniquement une montée de presque cinq kilomètres, mais en étant par asfalto ne présente pas majeur problème.
8. Les Arcs - Logroño



Dans ce tronçon de vignobles navarrais avec dénomination la Rioja nous laissons derrière le vieux royaume et nous croisons l'Èbre pour arriver à Logroño.
Une ligne droite route avec toboganes réfléchit entre Les Arcs et Sansol, où y a un temple baroque du siècle XVII consacré au saint cordobés San Zoilo.
De Torres de la Rivière et son Saint Sepulcro jusqu'à Viana y a deux lieux intéressants que visiter: l'ermita de Sainte María du Poyo avec son image gothique et une fois rebasado le barranco de Mataburros l'ancienne colonie romano de Cornava.
Viana, un lieu d'oliviers et vignobles, est le dernier que nous voyons de la Navarre dans cette route jacobea.
La Rioja, et en concret sa capitale, s'avistan au loin. L'Èbre se croise par le vieux Pont de Pierre pour entrer en la bulliciosa part vieille logroñesa.
Cette étape a une difficulté moyenne et il figure de trois parts différentes. Un premier tronçon jusqu'à Sansol (les premiers 7 kilomètres) avec des pistes en très de bon état et sans des difficultés appréciables; une deuxième jusqu'à Viana (11 kilomètres) avec des continues montées et descendues, pierres, vase, sentiers... , un chemin dur avec des tronçons réellement compliqués; et une troisième (depuis Viana à Logroño, avec 10 kilomètres) en meilleur état, en alternant asfalto et chemins bons.
La fin de l'étape (les derniers 5 kilomètres) ils passent par les polygones industriels qu'entourent à la capitale de La Rioja, et il se circule par une voie rouge, bâti et peint expressément pour les pèlerins.
Logroño reçoit au caminante avec son Pont de Pierre et lui accueille après une journée longue dans laquelle y a que dosificar les forces.
9. Logroño - Nájera



Le terroir rouge et les vignobles de tempranillo et garnacha accompagnent au caminante dans cette étape.
Au peu de de sortir de Logroño se traverse le joli Parc de la Grajera pour entamer l'ascension au grand de San Antón, contempler l'ancien hôpital de San Juan d'Acre et arriver à Navarrete, zone de potiers au pied de la route.
Quelques trois kilomètres avant de Nájera se trouve le Poyo de Roldán, une petite élévation qui évoque la mythique victoire de Roldán face au géant musulman Ferragut.
Selon la légende, Roldán apparaît en Nájera pour venger aux cavaliers chrétiens que Ferragut a des prisonniers dans son château. Roldán s'est monté à la colline qu'après porterait son nom, il a aperçu au loin au géant, a pris une énorme pierre qu'il l'a jeté en provoquant la mort de l'infidèle. Après le peñazo, Roldán a libéré aux prisonniers. Une autre version de la légende est que Roldán après maintenir une lutte dialéctica avec Ferragut, lui a cloué un puñal dans le nombril, unique site vulnérable du géant. De cette façon les troupes de Carloman ils ont pu libérer Nájera.
À partir de ce point commence une phase différente en le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Ils se laissent derrière les étapes navarraises avec ses continus il monte-basses et commencent les tronçons de La Rioja, qu'ils ont deux caractéristiques: sa similitude en le tracé et le fait de que se passe des 380 mètres d'altitude sur le niveau de la mer de Logroño, aux plus de 800 de la province de Burgos. De cette forme, le chemin se convertit en un continu faux llano que peut finir avec la patience du caminante. Celui-ci aura la sensation continue de circuler en llano, mais en accumulant la fatigue fruit de la soutenue ascension qu'a lieu dans ces étapes. Cette pente est rare, mais continue, avec ce que les jambes ils se ressentent tout au long de toutes les étapes.
10. Nájera - Saint-Domingue de la Chaussée



Avant d'arriver à la ville du longevo saint depuis Nájera y a que passer par Azofra et sa Source des Romarins, Alesanaco et surtout par l'abbaye cisterciense de Roseaux, où pernoctó saint François d'Assise.
Après dans la route ils apparaissent Cirueña, village dans lequel le conde Fernán González a été saisi par les forces navarraises, Ciriñuela avec son église de San Millán et Hervías où a eu un ancien hôpital du Mandat de Calatrava.
Une fois à Saint-Domingue de la Chaussée ils apparaissent dans la cathédrale le coq et la poule qu'ils nous rappellent le fameux miracle: dans le siècle XIV, un mariage de Saintes (la France), bien que assigné à la diócesis de Cologne (l'Allemagne), peregrinaba à Santiago avec son fils. En le mesón de Saint-Domingue, la moza tente au garçon et celui-ci candorosamente la rejette. La mesonera pour se venger cache une coupe d'argent entre le vêtement du jeune et au matin suivant lui dénonce par vol. Le garçon est prendido et pendu. Les pères, affligés, continuent voyage à Compostelle, et au rentrer, ils trouvent à son fils encore vif, puisque le Saint l'est en soutenant par les pieds. ils vite se dirigent où le Corregidor de la villa, que se disposait à rendre compte d'un coq et une poule rôtis. Le Corregidor leur répond que son fils est tellement vif comme les deux oiseaux qu'il allait à engullir. Dans ce moment les animaux ils sautent de l'assiette et ils commencent à revolotear et chanter, en essayant ainsi l'innocence du jeune pèlerin exécuté.
L'étape commence fort, surtout parce que le chemin de Nájera arrache avec quelques côtes prononcées et avec beaucoup de pente. Pour suivre avec la tónica des tronçons de La Rioja, dans cette étape se continue avec l'hausse, donc est recomendable s'armer de patience et amuser du Rouleau de Justice près Azofra, des paysages et des chemins.
11. Saint-Domingue de la Chaussée - Belorado



Bien que le cereal uniformiza tout le paysage, dans cette étape s'abandonne La Rioja pour s'enfoncer à Castille-et-Léon par sa tête: Burgos.
De Grañón, dernier village de La Rioja, jusqu'à Belorado y a que traverser Redecilla du Chemin, Castildelgado, anciennement Villaypún, Viloria de la Rioja, cuna de Saint-Domingue et où se conserve la pila où a été baptisé et Villamayor de la Rivière.
Ans avant que Saint-Domingue il bâtît le pont sur l'Oja et Sancho le Majeur de la Navarre fît passer le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle par la via Saint-Domingue-Belorado, la route jacobea réfléchissait, au nord en suivant l'ancienne chaussée romana de Tricio à Briviesca, depuis Nájera par Hormilla, Villalobar, Herramélluri (où sont les ruines de l'ancienne ville romana de la Libye), Leiva, et Tormantos, pour s'enfoncer à Burgos jusqu'à Belorado par la zone connue comme la Riojilla.
En concret en Leiva de Rivière Tirón ont existé sept ermitas toutes elles disparues, mais que se reunificaron en l'ermita consacrée à la Vierge Pèlerine, joins aux restes d'une croisière (en tout le Chemin Français seulement en Sahagún trouvons une autre Vierge Pèlerine). La précieuse taille de la Vierge avec l'Enfant saisi de sa main se peut admirer en l'ermita ou dans l'église parroquial. La légende raconte que la Pèlerine a soigné à un petit enfant yaciente et immobile, avec les lèvres comme en priant, par celui qui sa mère clamaba désespérée. En Leiva aussi se peut contempler un château du siècle XV.
Cette étape ne raconte pas avec aucune difficulté qu'y ait que souligner de forme spéciale. Il continue l'hausse qu'il portera petit à petit au pèlerin jusqu'aux plus de 800 mètres sur le niveau de la mer de Burgos, et le faux llano est la tónica générale. Le chemin traverse beaucoup de villages de La Rioja, par ce que le trajet il se fait très distrayant. En plus, dans la route générale ils se sont bâti quelques andaderos que facilitent le trafic des caminantes et, surtout, veillent par sa sécurité.
12. Belorado - Atapuerca



Il est l'étape consacrée au discípulo de Saint-Domingue, San Juan d'Ortega.
Les Montagnes d'Oca, lieu lacustre et abrupt d'empinadas côtes comme La Pedraja, un autre parage d'assauts et bandits est l'obstacle le plus important pour arriver une autre fois à la planicie.
Une fois de traverser en Belorado le pont sur la rivière Tirón s'arrive à Tosantos, où appelle l'attention l'ermita rupestre de Notre Dame de la Peña, à suite se passera par Villambistia, avec un morceau de chaussée romana conservée, Espinosa du Chemin et sa taille románica de San Indalecio et Villafranca Montes d'Oca, arrêt habituel des pèlerins pour replacer forces et affronter la longue montée du port de la Pedraja.
Juan d'Ortega est né en 1080 en Quintanaortuño, dans les rives de l'Ubierna, rangé prêtre a aidé à Saint-Domingue dans la construction de ponts, hôpitaux et églises. La même Isabel la Catholique peregrinó jusqu'à San Juan d'Ortega, après sept ans d'infructueux mariage, attirée par la renommée de San Juan comme avocat de la stérilité. En reconnaissance la reine a commandé edificar la suntuosa chapelle de San Nicolás de Bari. Le Miracle de la Lumière confère à ce lieu un halo mystérieux.
L'étape se peut diviser en deux parts presque d'égale longueur. La première part (que va de Belorado à Villafranca Montes d'Oca) est par un chemin facile et parfait pour amuser de la tranquillité. La deuxième vient marquée par le pas du Grand de la Pedraja. Le tronçon raconte avec quelques montagnes précieux, mais qu'obligent à l'effort de monter et descendre le port.
L'ascension commence à Villafranca tu Montes d'Oca avec 400 mètres par un sentier très empinado, 100 mètres plus doux et autres 600 mètres forts. À partir de ce premier kilomètre dur, la montée est tendida et beaucoup plus confortable pour le pèlerin. À deux kilomètres et moyen de commencer la montée il se trouve un merendero en moitié du bois, un site parfait pour reposer si faut et prendre des forces, puisqu'après ce merendero attendent deux kilomètres et moyen jusqu'à obtenir le Monument aux fusilados dans la guerre civile. Mais encore il ne s'est pas arrivé au grand de la Pedraja, reste un des tronçons les plus durs: il manque une forte descente suivi d'une dure hausse de 600 mètres que termine en le grand du port. La descendue jusqu'à San Juan d'Ortega et Atapuerca se fait par un chemin bon, mais qu'en dépenant de l'époque de l'an peut avoir vase.
Près Atapuerca nous trouvons les gisements pleistocénicos d'Atapuerca des plus importants du monde que sont ouverts au public.
Après sortir de San Juan d'Ortega s'arrive à Santovenia et sa jolie église, au-delà, en Agés y a des échantillons d'architecture traditionnelle, et à l'entrée d'Atapuerca se peuvent contempler divers dólmenes et un menhir.
En se déviant un peu de de la route ils se trouvent les fameux gisements prehistóricos.
13. Atapuerca - Burgos



Au sortir d'Atapuerca le caminante se trouve avec une forte pendante plagada de pierres qu'oblige à aller attentifs à l'appartement. Cette côte se maintient tout au long de deux kilomètres, mais le dernier tronçon est spécialement dur. La descente arrache avec quelque problème dans le sol, mais il en bas attend l'asfalto que n'abandonne pas au pèlerin jusqu'à Burgos.
À des peu de kilomètres, nous sommes déjà en plein chaos de circunvalaciones et véhicules qui nous situent dans les proximités de Burgos. Encore ainsi dans le populeux quartier de Gamonal se peut contempler le splendide temple gothique de Sainte María la Réelle et Antigua.
Nous sommes en des terroirs du Cid et de l'impressionante Cathédrale de Burgos et ses sabrosos mesones adjacents avec odeur et goût à agneau et à soupe castillane.
Le pèlerin croise le plácido rivière Arlanzón en direction aux Grèves et à l'Hôpital du Roi.
Celle-ci est une étape de contrastes, dans celle qui le pèlerin il se trouve avec des sites tellement magiques et impressionants comme la Cathédrale de Burgos, et autrui tellement peu de significatifs comme les polygones industriels.
14. Burgos - Hontanas



Ils commencent les étapes d'amples mesetas jusqu'à León, dans celles qui la solana et le románico accompagneront au pèlerin par la route.
Le style románico a été largement diffusé par le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle dans les siècles XI et XII: les couvertures de bois s'ont substitués par des tours, soutenues par un arc de moyen point et gros murs de rares fenêtres.
Le premier village après abandonner Burgos est Villalbilla, avec son église de l'Asunción; il après se passe le Pont de l'Archevêque où le roi Alfonso VI s'est tombé lorsqu'il pourchassait aux huestes ennemies et s'arrive à Tardajos et à Rabé des Chaussées, lieu d'union de deux voies romanas et de la Source de Prao Tour. Il se traverse l'allongée rue d'Hornillos du Chemin et six kilomètres après nous tombons sur avec Arroyo San Bol, lieu énigmatique du Chemin burgalés.
Cette étape se fait il spécialement dure dû surtout à la longueur de l'itinéraire. Pour se faire face à à ce tronçon, outre la condition physique, est importante mentalizarse pour la solitude du chemin, puisque se enfonce en la meseta castillane. Ceci a un grand charme pour le caminante, mais aussi lui oblige à être préparé pour n'importe quelle éventualité, surtout climatologique, puisqu'avec soleil ou avec vent ce tronçon se fait spécialement difficile.
La sortie de Burgos n'a pas rien à voir avec l'entrée (par des polygones) puisqu'est belle et il invite à continuer le chemin.
Jusqu'à Rabé des Chaussées le chemin ne reviste majeure difficulté, mais à partir d'ici, si bien l'appartement est en des parfaites conditions, une forte hausse il oblige au pèlerin à se employer à fond jusqu'à Hornillos, ce que sont 8 kilomètres.
D'Hornillos du Chemin jusqu'à Hontanas: il est un tronçon d'hausse et qu'il en plus raconte avec l'appartement défavorable pour le pèlerin: pierres, irrégularités et hendiduras de roues de tracteur (de jusqu'à moyen mètre de profondeur dans quelques points) qu'aident à la formation de flaques et vase. Tout ceci oblige au caminante à passer par des champs cultivés.
Hontanas Semble qu'il n'arrive jamais, à ceci contribue le fait de que la localité se trouve dans une dépression et à que un signal informe de que Hontanas est à moyen kilomètre lorsque réellement reste kilomètre et moyen.
15. Hontanas - Boadilla Du Chemin



La panificadora Terroir de Campos nous reçoit dans cette étape en laissant derrière le burgalés Pont de Fitero sur la rivière Pisuerga.
Déjà en Castrojeriz s'évoquent les souvenirs de l'époque de la maligna maladie gangrenosa du feu de San Antón que le Mandat des Antonianos soignaient milagrosamente. Cette maladie a frappé l'Europe pendant les siècles X et XI; il montrait comme des premiers symptômes éruptions ardentes et enrojecimiento à partir des extrémités, de même que la peste porcina qu'aussi soignaient les membres du Mandat de San Antón, ermitaño égyptien du siècle III.
Le palentino village d'Itero de la Vega est la première borne de la région, que déjà dans l'Âge Moyen était qualifiée "comme un terroir de trésors, d'or, argent, riche en des torchons et vigorosos chevaux, abondant en du pain, vin, viande, poisson, lait et miel.
16. Boadilla Du Chemin - Carrión des Condes



Boadilla Du Chemin avec son renombrado Rouleau Jurisdiccional et avant d'arriver à Frómista le Chemin réfléchit parallèle quelques kilomètres à la Chaîne de Castille, importante oeuvre d'ingénierie du siècle XVIII, fruit de la politique illustrée du de La Rioja Marqués de l'Ancrée. Il a eu une triple finalité la chaîne: le transport de cereales, l'arrosage et la molturación du grain dans les moulins.
Frómista, Qu'a demeuré en terroir de personne beaucoup d'ans après l'invasion musulmane, semble avoir son origine etimológico en Frumesta, vocablo latin que signifie cereal, que par vrai abonde beaucoup par ces lieux.
En Carrión les pèlerins ils s'arrêtent en dessous du pórtico de l'église de Sainte María du Chemin pour contempler le relais qui fait référence au tribut des Cent Demoiselles. Les chrétiens devaient payer ce tribut aux musulmans, mais Carrión il est resté libre de cette obligation lorsque les islamiques ils ont été dispersados par quatre fieros taureaux issus de l'ermita proche. Dans la porte d'accès à l'église de San Zoilo par le claustro se remarque un medallón que représente à la sibila l'Europe, fille du roi fenicio Agénor enlevée par Jupiter et portée à Crète, où a été mère du roi Mesures. Un prince asturien, que cherchait une épouse belle rescató à l'Europe et l'a amené aux Asturies, où ils s'ont mariés. Dès lors, les montagnes du royaume asturien s'appellent Pics d'Europe.
17. Carrión des Condes - Lédigos



Dans le banlieue de Carrión ils se trouvent les ruines de l'Abbaye de Sainte María de Benevívere, un peu de plus avance la chaussée romana nous enfila vers Calzadilla de la Cuise, Ledigos et ses murs d'adobe et ses images de Santiago
18. Lédigos - Sahagún



Terradillos Des Templarios, l'ancienne population mudéjar de Moratinos, San Nicolás du Réel Chemin avec une précieuse taille románica de la Vierge et déjà dans la province de León, à des côtes de la rivière Valderaduey, se trouve la sugestiva ermita de la Vierge du Pont.
Quelques mètres il plus avance il s'entre en Sahagún, la ville des saints Facundo et Primitivo, legionarios romanos convertis au christianisme, qu'ont été martirizados et lancés à la rivière Cea au temps de Dioclétien. Appelé le Cluny espagnol, Sahagún se trouvait sous l'influjo total du monastère de San Benito. La dominación du monastère était tel qu'est arrivé à imposer pénitences aux sahaguninos tels comme l'interdiction de manger viande, en ayant alors qu'acheter le poisson aux moines, que maintenaient quelques cuantas piscifactorías. Il dit la légende, que devant cela, ils ont commencé à lancer les cochons à la rivière pour les pouvoir pescar et manger poisson sans casser la pénitence.
19. Sahagún - Le Burgo Ranero



Avant du croisement à Chaussée du Clos, où y a une marquesina et s'est habilité un panneau informatif, a deux alternatives: une par l'ancienne Via Trajana (route jacobea originale) que passe par l'hospitalière Calzadilla des Hermanillos et l'autre par le moderne Chemin Réel Français de 31 kilomètres d'extension. il n'y a pas perte aucune avec n'importe qui des deux options, toutes les deux ils vont confluer en Mansilla des Mulas.
Dans le tronçon moderne la Junte de Castille-et-Léon a habilité une chaussée spéciale de gravilla, entourée de zones de repos et où chaque neuf mètres s'est plantés un arbre pour accueillir du tórrido soleil aux pèlerins. Malgré le confort rien à voir avec le charme qu'il suppose il promener par la chaussée romana. Cet ancien itinéraire traverse une dehesa d'yeuses, passe par robledales et avant de mettre pied en Calzadilla des hermanillos, le pèlerin peut soulager la soif dans la source en honneur au pèlerin, bâtie par les voisins de Valdelocajo en 1989.
Ici, dans le terme de Valdelocajo, a dû d'avoir lieu le connu épisode du pèlerin dévoré par les loups et qu'il raconte Domenico Laffi en son Viaggio à San Giacomo, un de les illustres pèlerins qu'ont commencé la mode des guides à Saint-Jacques-de-Compostelle; avant le clérigo Aymeric Picaud avait relaté en latin en 1130 ce que se connaît comme la première guide touristique européenne, le Liber.
Autres importants pèlerins du Chemin ont été: le conde Guines, et l'évêque de Lille en 1084; Guillermo X, duc d'Aquitaine; Conrado, évêque de Mayence, Sancho II, roi du Portugal; saint François d'Assise, Carlos I et Felipe II; Jean de Brienne, roi de Jérusalem et Luis VII, roi de la France. Les premières pallozas du chemin nous delatan que sommes en Le Burgo Ranero.
Celle-ci est une étape courte et de transition entre Sahagún et le Burgo Ranero. Ils sont 17 kilomètres de légère montée et sans des grandes difficultés à moins qu'ils vengent données par la climatología. il n'y a pas des ombres et le chemin passe par un confortable andadero. La meilleure option est lui le prendre avec calme et réserver des forces. La Voie Trajana a le goût de la route originale et l'occasion de transiter par des restes d'une chaussée romana, cela oui, seulement traverse le village de Calzadilla des Hermanillos.
20. Le Burgo Ranero - León



Une terrible étape de plus de neuf heures de marche pour arriver à contempler les merveilleux vitraux de la cathédrale leonesa.
Par le Réel Chemin Français se sort du Burgo Ranero pour arriver à Reliegos de les Tues, ancienne encrucijada romana, une lieue après apparaît Mansilla des Mulas joins au truchero rivière Esla. À cette localité est associée une des figures les plus pittoresques de la littérature du Siècle d'Or espagnol, la coquine "" Justina, du connu roman publiée en 1605 à Médine du Champ. Ce personnage ouvre posée en Mansilla, par celle qui voyons passer, entre tout type de clients, à bastantes pèlerins compostelanos.
Passé Villamoros apparaît le Pont de Villarente, de vingt yeux et de facture irrégulière et Arcahueja, où apparaissent des panneaux avec un lion habillé de pèlerin. Il s'entame une douce hausse jusqu'au grand du Portillo, depuis où s'aperçoit León.
La ville est très agréable pour les pèlerins français que voient en elle l'influence de son style gothique. Il se contemple art par chaque coin de l'ancien siège de la VII Légion romana et pour déguster quelques sabrosas bouches dans le Quartier Humide.
La principale difficulté de cette étape vient donnée par la longueur de son itinéraire. Compte avec une première part en légère descente et une deuxième que s'empina en terminant en le Grand de Portillo, un point que le pèlerin obtiendra sans demasiada complication. En ce qui concerne l'appartement peu y a que dire, puisqu'il est en bon état et il combine asfalto et sentier.
L'Unique reseñable serait que 10 kilomètres après partir il y a que prêter attention pour croiser la voie du train. En Pont de Villarente la signalisation peut faire douter aux caminantes, convient aller très attentif.
21. León - Vidallangos du Páramo



Le pèlerin dans cette étape fait son entrée en des terrains inhóspitos et improductivos. Nous sommes en le dur páramo leonés, seulement radouci par quelque refrescante végétation, chopos surtout.
En Trobajo du Chemin y a une ermita consacrée à Santiago et à suite fondu avec Trobajo se trouve le noyau de la Vierge du Chemin, surgi autour du sanctuaire consacré à la patronne de León. Actuellement le bâtiment est de style modernista (1961) et le monumental et hierático apostolado que parcourt la façade il s'est converti en emblema du sanctuaire. Les treize statues (les 12 apôtres et la Vierge), en bronze, de six mètres d'hauteur et 700 kilos de poids sont oeuvre du sculpteur José María Subirachs. Dans ce lieu la Vierge se lui est apparu au berger Alvar Simón et lui a ordonné lever là un lieu de culte. La petite localité de Valverde de la Vierge surgit en un vallejo et un peu de plus avance il se trouve le petit village de San Miguel du Chemin.
Villadangos Du Páramo est une des localités iconográficamente plus santiaguistas du Chemin, pour quelques historiens est indéniable son passé asturien.
Celle-ci est une étape confortable. Après passer quelques fortes montées au sortir de León, le chemin ne présente pas des majeurs problèmes. Il passe dans sa majeure part par asfalto et les chemins se trouvent en bon état.
22. Vidallangos Du Páramo - Astorga



Saint-Martin du Chemin a une église consacrée à l'évêque de Tours, patron des pèlerins.
Dans la marge gauche de la rivière Órbigo se trouve la population de Pont d'Órbigo, fameuse par l'historique Pas Honroso où monsieur Suero de Quiñones a défié aux aventuriers qu'osaron croiser le pont. À l'autre côté se trouve Hôpital d'Órbigo et un peu de plus avance Villares d'Órbigo avec son église parroquial consacrée à Santiago.
En Santibañez de Valdeiglesias, dans son église, y a des bonnes tailles de San Roque et de Santiago Matamoros, et en San Juste de la Vega, le Chemin se trouve avec la croisière de Saint Toribio, lieu où l'évêque d'Astorga s'a secoué la poussière des sandalias à l'abandonner, triste et calumniado son diócesis.
Astorga, Ancienne ville asturienne et romana, capitale aujourd'hui de la Maragatería, a eu un solide lien avec le Chemin. Il était tellement abondant l'offre d'hôpitaux pour le pèlerin que s'a créé la figure du "veedor", celui-ci était le chargé de visiter au commencer à faire nuit tous les établissements pour que les pauvres et les voyageurs ne répétassent pas chaque journée en un différente et ils demeurassent mois gratuitement dans la ville.
La première part de cette étape, jusqu'à Pont d'Órbigo, passe par des chemins confortables et la plupart du temps parallèles à la route. En beaucoup de tronçons l'itinéraire il va accompagné de beaucoup de végétation. nous une fois sortons de Pont d'Órbigo s'indiquent deux options. La première marque Astorga à 16 kilomètres et la deuxième à 17. Ceci est parce que le chemin le plus long passe par Villares d'Orbigo.
Si il s'opte par le plus court, se va par une chemin parallèle à la nationale 120. Dans la deuxième option se passe par Villares Órbigo et Santibáñez de Valdeiglesias, est un tronçon par des chemins et des pistes.
À défaut de 12 kilomètres pour Astorga se croise la route générale et par une ancienne route asfaltada se monte jusqu'à la Croisière de Saint Toribio. Ils sont 6 kilomètres. Cinq ils sont de continues et dures montées et descendues par asfalto, et le dernier kilomètre se fait par un chemin nouveau à celui que s'accède après obtenir un complet panneau informatif.
23. Astorga - Foncebadón



Le pèlerin est dans une terroir ancienne et mythique, isolée volontairement par ses habitantes pendant des siècles. Il est la région maragata, où s'étendent des terroirs gris et desarboladas, mais aussi vallées alfombrados avec des verts profonds. Il est un moyen hostile, qu'a poussé anciennement à ses habitants à se convertir en arrieros, activité nomade et caminera qu'a caractérisé aux maragatos: trajinaron avec des jambons et jusqu'à avec des allégresses de la Couronne, en parcourant la part nord du pays jusqu'à Madrid. Ils étaient appréciés par être forts et honorés, et de peu de mots.
Il est un terroir hospitalier qu'il fait plus accessibles les montagnes de León. Valdevieja Consacre son église parroquial à San Severísimo; Murias de Rechivaldo, est allé village d'arrieros; et la précieuse Castrillo des Polvazares a été inmortalizada par Coquille Épine dans son roman L'Esfinge maragata.
En Sainte Catalina nous nous rapprochons au pied de la montagne Irango et dans Le Jars apparaissent les premières maisons avec toit de paille. Par le détournement que conduit à Rabanal Vieux se trouvent les restes d'une exploitation aurífera de l'époque romana: Mine de la Fucarona.
En Rabanal du Chemin Anseïs, roi de l'Espagne et de Carthage et fidèle vasallo de Carloman, se desposó avec la princesse sarracena Gaudisse, en donnant lieu à une autre des légendes du Chemin.
La proximité de la Galice se laisse sentir dans cette étape, la région du Bierzo fusionne culturalmente le vieux royaume leonés et l'ancêtre galaico.
Très près la montagne Irango, gisent aujourd'hui les ruines de Foncebadón, jadis importante localité dans le Chemin. Dans l'actualité y a une jolie pension.
Avec cette étape ils se terminent les énormes plaines qu'ils ont accompagné au pèlerin dans son pas par Castille-et-Léon et qu'ils lui ont permis réserver des forces pour affronter les dernières étapes. En celle-ci, l'itinéraire passe par des bons chemins et asfalto. En Murias de Rechivaldo arrache la montée qu'il obligera au pèlerin à réaliser une douce et soutenue hausse. Cette pente ne cessera pas jusqu'à la suivante étape, lorsque le caminante arrivez à la mythique Croix de Ferro.
Cette journée d'hausse ne raconte pas avec demasiadas complications pour le pèlerin, mais deux kilomètres après passer Le Jars, l'itinéraire passe par asfalto, plus concrètement par une étroite route dans laquelle n'y a pas beaucoup de trafic mais qu'il convertit en obligatoire la précaution.
24. Foncebadón - Ponferrada



En couronnant le port (1.504 mètres d'altitude) se lève la Croix de Ferro, un des monuments les plus simples mais plus emblématiques du Chemin.
Sur un tas de pierres se redresse une simple croix de fer. Les pèlerins, lorsque lancent une pierre sur le tas, ils s'ajoutent à une tradition millénaire pour demander protection dans le voyage. Il se croit qu'il avant y avait un autel romano consacré à Mercure.
Il se passe par le village abandonné de Manjarín, où seulement Tomás l'hospitalero répond au pèlerin, et il s'arrive à l'Acebo qui donne l'accueil au Bierzo.
La paroisse d'Arrosage d'Ambrós est consacrée à la Magadalena et en Molinaseca se traverse un pont románico sur la rivière Meruelo.
En Champ, à la droite du Chemin, y a une source médiévale, à façon d'aljibe souterrain.
La grande ville de Ponferrada rend au pèlerin au siècle XX, bien que bien est vérité que le souvenir des cavaliers templarios nous véhicule une autre fois à l'Âge Moyen. Le Mandat du Tempère il a été créée par Hugo de Paganis pour la défense des pèlerins qu'allaient à Jérusalem.
Dans cette journée s'obtient la cote la plus grande de tout le Chemin. Il est une des étapes les plus jolies et la préférée de beaucoup de pèlerins, si il bien est un tronçon très long et rien simple. Le caminante doit sortir déjà très mentalizado de la dureté de l'itinéraire, pour surpasser toutes les difficultés et amuser des paysages et la beauté du terrain, surtout dans la descente.
Les sentiers pour lesquels il passe l'itinéraire ils ne sont pas mauvais, mais dans quelques points il est nécessaire aller avec beaucoup d'attention.
25. Ponferrada - Trabadelo



Cette estapa, passe par le Bierzo, région entourée par la cordillera Cantabrique, les montagnes galiciennes et par les montagnes Aquilanos.
Il est région il possède un magnifique paysage où le climat benigno fructifica en des abondants vignobles, vergers et frutales, et même plantes de tabac que jalonan la route peregrinal.
De Ponferrada se sort par Compostilla, son coeur industriel, et s'arrive à Columbrianos, où se peuvent contempler des restes d'anciens castros romanos. En suivant par l'encore appelé Chemin Réel, s'entre en des Sources Nouvelles, dans cette localité il se peut visiter l'ermita du Champ Divin Christ, un peu de plus avance il s'apparaît la jolie et grandie Camponaraya avec son église consacrée à San Ildefonso, évêque de Tolède.
Nous arrivons à Cacabelos que se traverse par la Rue des Pèlerins, véritable épine dorsale de l'attractive villa.
Dans les proximités de Cacabelos s'haussent les restes du Monastère de Sainte María la Réelle du siècle X, après vient la population de Pieros avec son église de Saint-Martin de Tours pour arriver à Villafranca du Bierzo. Localité señorial, censée le coeur de la région berciana et établie à des côtes de la rivière Burbia en sa confluencia avec le Valcarce, est la plus galaica des villes leonesas. L'arôme des empanadas bercianas, le botillo, les cachelos et le lechazo nous guidera jusqu'à la tasquera rue de l'Eau.
De Villafranca par la route s'arrive au petit village de Pereje, à une paire de kilomètres se trouve Trabadelo
Cette étape se peut envisager simple, puisque ne raconte pas avec aucune difficulté señalable. Les premiers kilomètres passent par asfalto, trottoirs et routes, par ce que n'apportent pas beaucoup de beauté à l'itinéraire. Une fois passé Pieros y a deux options pour parcourir les derniers kilomètres: la route la plus officielle (avec plus asfalto) et une alternative qui passe par Valtuilla d'En dessus. Cette deuxième option est plus longue (kilomètre et moyen plus) mais il offre la possibilité d'amuser d'un tronçon de grande beauté, paysages magnifiques et une énorme tranquillité. Au début l'appartement n'est pas en bon état, mais il après améliore et il n'y a pas aucun problème.
26. Trabadelo - Fonfría



Par l'étroite vallée de Valcarce s'arrive à la Portela et à l'embouchure de la rivière Balboa, où se situe Ambasmestas et se mêlent les eaux je joins à une ancienne chaussée romana.
Un peu de plus avance dans le Chemin ils se lèvent la florissante Vega de Valcarce, le petit peuplé de Ruitelán et Herrerías, où encore aujourd'hui se peut contempler le bâtiment consacré à la fundición du fer originaire des mines du Caurel.
À la sortie d'Herrerías se trouve le quartier de l'Hôpital Anglais, destiné aux pèlerins des îles britanniques.
La Faba et Lagune de Castille sont les dernières populations de la province de León. Déjà à Lugo, et par tellement en la la Galice de la Xunta, il se trouve à 1.293 mètres d'altitude Ou Cebreiro, lieu emblématique du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle où le sang et le corps de Christ se sont apparus en un cáliz et une patena. Les pallozas du Cebreiro entre le brouillard licencient au pèlerin en direction à Liñares, topónimo que vient des plantations du fameux lin.
À suite se monte au grand de San Roque, de là à l'Hôpital de la Condesa et à Padornelo, avec des vestiges du pas des Cavaliers de San Juan de la Malte. Depuis le grand du Poio se descend jusqu'à Fonfría
Les 33 kilomètres qui forment cette étape sont dure, donc la mentalité avec laquelle il sorte le pèlerin il est très important. Cette journée a deux parts très différentes.
La première passe par une voie jaune bâtie de forme parallèle à la nationale 6 et qu'il suppose une garantie pour la sécurité des caminantes. Cette voie jaune commence à trois kilomètres de Villafranca du Bierzo et accompagne au caminante tout au long de 13 kilomètres. Ce tronçon s'envisage comme une préparation pour les kilomètres les plus durs qu'ils viendront après.
La deuxième part de cette étape commence dans le Croisement de la Faba. Dans ce point se recommande aux cyclistes la montée par route; aux caminantes leur attendent 6 kilomètres de sentiers, chemins et durs repechos, mais toujours couverts par un précieux bois.
Principales difficultés de cette étape il est l'ascension à Ou Cebreiro: ils sont 7 kilomètres. Le premier d'ils est par asfalto et le reste par des chemins. Cette dure pente laisse un repos au pèlerin à l'hauteur de la Faba, où se radoucit le terrain pour replacer forces avant d'arriver à la cime. Le Plus recomendable est amuser du magnifique paysage et, surtout, dosificar les énergies. En tout cas tout l'effort se voit récompensé avec l'arrivée à la belle localité d'Ou Cebreiro.
27. Fonfría - Sarria



Biduelo, Filloval, As Pasantes et Ramil pour arriver à la cementera Triacastela. Si il se choisit le chemin de San Xil se passe par des localités pittoresques comme Montán, Furela, Pintín, Calvor, Aguiada et Vigo de Sarria, ancienne villa campestre de quelque monsieur de Sarria. Dans l'autre variante est fondamentale le monumental et symbolique monastère des Santos Julián et Basilisa de Samos.
En Sarria, fin d'étape, jadis pouvaient pernoctar les pèlerins qui rentraient de Santiago en portant la Compostelle, et à ceux que se donnaient huit maravedís pour ses dépenses.
Celle-ci est une étape très longue, et précisément sa longueur est une de ses difficultés. Le profil est irrégulier, mais il ne suppose pas aucune complication. En revanche, la descente à Triacastela peut être plus dur, parce qu'y a des tronçons de chemin mauvais et puis n'y a pas à peine végétation.
À l'hauteur de Triacastela le chemin se bifurca. Il se pose la possibilité d'amuser de la tranquillité et le sol régler de Samos ou de l'accidenté tronçon de San Xil. Dans cette dernière option, le pèlerin s'enfonce entre des sentiers, arbres, chemins, côtes, pendantes et pierres.
28. Sarria - Portomarín



Par ces lieux il se dit qu'ils accouraient tramposos hospederos compostelanos à la rencontre des pèlerins pour leur offrir ses maisons, où, selon le Códice Calixtino, se trompait aux récemment arrivés après un premier repas, en leur vendant cierges par le double de son prix.
Depuis Sarria se sort par le Quartier de San Lázaro pour laisser derrière le desperdigado caserío de Vilei et arriver à Barbadelo; il après se passe par Rente et Xisto, dont le nom en galicien signifie tableau, la matérielle base de la construction de la la Galice rurale.
Il suit après une série de chères bourgades comme Domiz, Leimán, Perascullo, Cortiñas, Lavandeira, Casal et Brea.
Entre ce dernier village et Ferreiros se trouve le mojón qu'indique qu'ils soustraient 100 kilomètres jusqu'à Santiago. Les jambes des pèlerins déjà presque vont seules en recherche de l'embrassade au Saint.
À suite ils viennent Mirallos, Peine, Couto, Moimentos, Mercadoiro, Moutras, Parrocha et Vilachá. Au sud de cette dernière localité a eu son emplacement le monastère de Sainte María de Loyo, lieu où est né le Mandat de Santiago, douze cavaliers qu'en 1170 se juramentaron pour protéger aux pèlerins des assauts musulmans.
Le Minho et son barrage de Belesar nous indique que nous sommes en le nouveau Portomarín, le vieux repose sous les eaux de la replacée rivière galicien.
Dans cette étape est impossible s'ennuyer, il a pratiquement de tout, et le pèlerin sera distrayant. Tout au long des 23 kilomètres qu'il a, l'itinéraire il se couvre par chemin bon, tronçons très embarrados, descentes fortes, pentes douces... En plus, il se croise la voie du train, diverse rivières, magnifiques paysages, ponts sur le précieux barrage de Belesar... Si, à tout ceci, nous lui ajoutons que le profil ne reviste aucune complication et que se passe par le mojón nombre 100, cette étape peut être réellement supportable.
29. Portomarín - Pelles du Rei



Les hórreos accompagneront au pèlerin pendant tout le jour. Les canteros ont introduit en les hórreos quelques formes d'art culte, spécialement du baroque. La caméra, que garde les mazorcas en les protégeant des roedores, est isolée de l'humidité par les voladizos et est aireada par les pasaventos (rainures horizontales ou verticales). Dans le plafond à deux ou à quatre eaux, ils s'ont l'habitude d'installer croix et tu parachèves de grande variété.
Depuis la montagne de Saint-Antoine, je joins à Portomarín, se descend jusqu'à Toxibo et Gonzar.
En Castromaior se trouvent les ruines du castro que donnent nom au village, Hôpital donne Cruz il doit son topónimo à un ancien hôpital de pèlerins.
Nous laissons derrière des Ventes de Narón, Prebisa, Lameiros et arrivons à Ligonde, ancien importante enclave jacobeo.
Après le pas par Eirexe et Portos, et quelque chose écarté de la route, se trouve Vilar de Donas, où se trouve la plus précieuse des plus de vingt petites églises románicas de la commune de Pelles de Rei: l'Église du Salvador avec une couverture de grande beauté avec quelques arquivoltas de grande richesse iconográfica.
Déjà de nouveau dans la route s'arrive à Lestedo, Valos, Brea et le grand do Rosaire. Selon la tradition ne documentée le nom de Pelles de Rei provient du palais qu'ici possédait le roi godo Witiza.
La tónica générale de cette étape est l'hausse, puisque de les 26 kilomètres avec lesquels il raconte 20 ils hachent vers en dessus. Le Bon qu'a il est que le pèlerin se trouve avec un sol favorable, autant dans les tronçons asfaltados comme dans les chemins. Cette journée arrache avec une forte montée nage plus sortir de Portomarín, ce que permet se faire une idée de comment il va être le reste. Cette première pente se trouve entourée par un arboré que, malgré l'effort à celui que oblige la côte, il la fait très plaisante.
30. Pelles du Rei - Arzúa



nous aujourd'hui arrivons à la dernière province du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, À La Corogne, déjà manque moins.
Après sortir de Pelles de Rei par le Champ deux Romeiros s'arrive dans une zone dominée par une ancienne dévotion à San Xulián. La légende ramassée par Jacobo de Vorágine dit que Julián, un noble soldat, donne mort par erreur à ses pères. Pour purgar son péché s'établit comme hospitalero avec son épouse Adela, jusqu'à ce que reçoit la visite d'un ange en lui communiquant le pardon divin.
L'église de San Xulián do Camiño, románica du siècle XII, témoigne la dévotion ancestrale. Au sud de la route ils se trouvent Les Pazos d'Ulloa du roman d'Emilia Pardo Bazán et le magnifique château de Pambre.
Après Porte de Bois s'arrive à Clos où il se laisse la province de Lugo et il s'entre en À La Corogne par Cornixa et Leoboreiro.
Pour arriver à Furelos y a que croiser la magnifique mets-toi velha, pont médiéval de quatre yeux, le caserío aussi conserve vrai air médiéval.
En Melide s'unissent la route de la côte et les pèlerins que s'étaient déplacé depuis León pour voir les reliques de San Salvador d'Oviedo.
Ceca De À Peroxa se trouve la chapelle de Rocamador, de dévotion française, après viendront Boente et sa jolie image de Santiago, Castañeda, où devaient être les fours dans lesquels il se préparait la chaux pour la construction de la cathédrale de Compostelle, Ribadiso et la fin de l'avant-dernière étape du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle: Arzúa, fameuse localité par son fromage et parce que se célèbrent les plus importantes foires éleveuses de la Galice.
La meilleure forme de décrire cette étape est rompepiernas. Le pèlerin se fait face à à une succession de côtes en dessus et en bas qu'ils peuvent arriver à être très dures. Il est à ces hauteurs du chemin, lorsque beaucoup de se remettent en question qu'est-ce que il résulte plus compliqué et plus nuisible pour ses jambes: monter ou descendre. Les chemins sont bons et la Galice offre au pèlerin tous ses charmes avec ses inimitables bois d'eucaliptos, riachuelos que s'entrecruzan et encantadores villages.
31. Arzúa - Lavacolla



Cette penultima étape a un risque important: qu'il se fasse larguísima. Les faims du pèlerin d'arriver à Santiago et la dureté du tronçon, contribuent à cette sensation.
L'itinéraire peut se diviser en deux parts différentes. Une première qu'obtient jusqu'à l'aéroport (les premiers 24 kilomètres) et qu'il raconte avec les charmes des bois d'eucaliptos et chênes, les villages avec les poules par la rue, les paysages, les montagnes... Et une deuxième dans laquelle se perd toute cette beauté.
32. Lavacolla - Saint-Jacques-de-Compostelle



L'infinie Voie lactée se finit, l'Étoile polaire est plus près et la joie saute de lieue en lieue de la montagne à l'Obradoiro.
Il est la dernière étape pour arriver au but marqué fait 775 kilomètres en Roncesvalles. Ils sont sur le point de terminer les jours de prés, moutons, couchettes, ombre, solana, vase, conversation, autoconocimiento, misticismo, religiosité, cereal, vignobles, soupes d'ail, sandalias frailescas, idiomes indoeuropéens, tijas, manillares, ampollas, pierres, vitraux, arbotantes, arquivoltas, cacao, tiritas, bottes, lignes droites, courbes, sacrifices et engagements.
Ils sont 11 kilomètres entre des grandes rotondes, routes, urbanisations, polygones où sont les études de télévision... Le résultat est que lorsqu'il s'arrive à la Montagne do Joie n'y a pas aucune montagne. Cela oui, s'est bâti une voie pour les pèlerins avec un ferme parfait et qu'il garantit la sécurité des caminantes.
Depuis le grand complexe en que s'est converti la Montagne do Joie se voit, enfin, Saint-Jacques-de-Compostelle et ses tours baroques de la capitale. Le but de la grande route jacobea: Santiago est une grande ville de presque 90.000 habitants que compagina la modernité de la place Rouge et l'aéroport de Lavacolla avec l'halo mystérieux, religieux, romantique, cosmopolite de la place de l'Obradoiro. L'heureuse caminante découvre une ville de pierres obscurcies par le pas du temps et par l'humidité. Rúas Vieilles avec odeur à Ribeiro et à poulpe se diseminan par tout le Casque Ancien. La cathédrale en pleine place de l'Obradoiro représente le culmen du Chemin, en elle repose, selon la légende, l'apôtre qui a fait que milliers de personnes ils entreprennent un voyage plein de fatigue et expériences que se convertiront en des souvenirs pour toute la vie.
Après les presque 800 Km, lorsqu'il s'entre dans la place de l'Obradoiro une infinité de sentiments parcourent ton esprit: Alegría, orgueil, satisfaction, etc.
À moi m'a personnellement envahi une profonde tristesse: cette merveilleuse expérience qui m'avait porté à croiser l'Espagne d'est à ouest était arrivé à sa fin. ils derrière restaient beaucoup de journées de souffrance, de solitude, de joies, de frió, de chaleur et de partager beaucoup d'et merveilleuses heures avec les personnes à celles que veux et avec lesquelles je partage ma vie. Dans cet instant j'ai découvert que le but du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle n'est pas arriver, le chemin en soi est il la récompense… ¡peut-être, comme la vie même!
Je suis diego et le commence ce juillet depuis madrid.
Si quelqu'un cet intéressé..Depuis madrid jusqu'à sahagun et d'alli à compostela sont presque 630 km.
volta_22@hotmail.com
À mon me à plu beaucoup et je vais aller l'an que biene avec mon ❤BFF ❤ que s'appelle Maria Isabel et iva avec migo dans le collège depuis 1 d'enfantin
Maria Elena, m'enchanterait me communiquer avec toi, j'ai 64 et je me suis en entraînant. Tu L'as déjà fait? Je vais en automne du 2019
Mon courrier est silviahincapie@gmail.com
Salut Maria Helena! En celles-là je marche je, avec 57 mais seulement jusqu'à je maintenant vois la possibilité de réaliser ce rêve. J'ai les mêmes doutes…
J'ai beaucoup d'ilusion de faire ce chemin, le quse faire depuis q était jovencita mais n'ai pas eu occasion, maintenant je déjà ai 65 anos me suis entrnando pour haerlo le proximo ano premier
Dieu en avril je crois q l'hare de rosenvalles donc les pyrénéens crois q déjà n'aguantaria. Je le vais faire à mon rythme et amuser le mais possible. Ne s'en cuantos dias l'aria? Si ils me peuvent raconter un peu de l'agradeceria crois q ire seule n'est pas dangereux? Je m'imagine q un va en connaissant gens dans le chemin,
Maria Elena, m'enchanterait me communiquer avec toi, j'ai 64 et je me suis en entraînant. Tu L'as déjà fait? Je vais en automne du 2019
Mon courrier est silviahincapie@gmail.com
Salut Silvia. j'aussi ai ce plan. J'ai commencé à entraîner. J'ai 58 et quelque chose de crainte par le voyage mais beaucoup de faims.